Long enchaînement de commentaires sur cet article :
Sac de riz et petites trahisons. (A lire absolument si vous voulez comprendre la suite de ce billet.)
Tous lus et tous font écho en moi...
J'aimerais vous étaler ici le fond de ma pensée mais je la trouve fort vide, ma pensée. Rien de construit, rien de fort et de dur... Un peu comme dans le
Péril jeune "On sait pas ce qu'on veut mais au moins on sait ce qu'on veut pas !"
Que j'aimerais que vous me donniez vos points de vue sur "
l'amour du pouvoir qui fait se renier", sur "
le nivellement par le bas orchestré par les média", sur "
la date de péremption des idéaux", "
la notion de sociotrans' citée par
NulleEnPseudo'"
(que j'ai en plus le travers de conjuguer à l'envers !!! Nivellement par le bas ? Chez moi, on ne pourra pas dire que c'est la faute à la télé !) et surtout, surtout, si vous pouviez expliquer longuement, lentement
(pour qu'elle comprenne) à cette
tête de mule du 21e siècle que je suis pourquoi je suis si pessimiste, fataliste, égoïste, retirée, désengagée, etc... Bref, tout ce qui,
semble-t-il, caractérise ma génération
(et encore c'est pas la pire, regardez ses beaux sursauts de lucidité, comme ça, au détour d'un message de blog ! Un peu comme les réflexes musculaires quand on électrocute une grenouille sans vie !) Alors qu'elle sait bien qu'il faudrait faire face, lutter, hurler, agir, défendre, informer, etc...
Je ne sais pas comment vous faites, vous, mes idéaux !!! J'en pleure d'impuissance !