Que j'aurais aimé avoir le temps de prendre un congé sabbatique pour vivre 6 mois avec Mamie et apprendre de la sorte comment se vivait le début du siècle dernier... J'ai encore une chance de pouvoir me rattraper avec Anna ou Mado... Vais-je les laisser filer aussi ???
mardi 28 avril 2009
Les neiges d'antan
Que j'aurais aimé avoir le temps de prendre un congé sabbatique pour vivre 6 mois avec Mamie et apprendre de la sorte comment se vivait le début du siècle dernier... J'ai encore une chance de pouvoir me rattraper avec Anna ou Mado... Vais-je les laisser filer aussi ???
mercredi 22 avril 2009
Un message : Deux idées
Pour moi, les dieux appartiennent à l'enfance de l'homme. Ils sont comme nos parents : nous avions besoin d'eux quand nous ne savions pas d'où venait le monde, et tant que nous n'avions pas développé de sens éthique.
Mais nous avons grandi : nous savons que nous ne sommes pas issus de la Genèse, et, pour ce qui est du sens éthique, nous n'avons pas besoin des prêtres et des dieux pour le définir.
Dans toute vie, il arrive un moment où les enfants doivent se séparer de leurs parents, et j'attends le moment où nous pourrons dépasser le discours religieux - mais je ne pense pas que ce soit pour demain...
Tu vois Françoise, on en pense exactement la même chose... seule la pratique change.
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Et puis un lien pour les "bricoleuses manuelles" pour y prendre plein d'inspiration.
Etsy, un site de vente de petites choses fait-main et d'objet vintage.
Attention, hein, c'est un site marchand à la base alors je ne réponds pas de vos pulsions-coup de cœur si vous y laissez des (euro)plumes !
mardi 21 avril 2009
30 ans
Et nombre d'autres que j'ai eu aussi...
Si ce n'était moi qui les avais, c'était Gilles :


Ou alors c'était chez les amies ou à l'école que j'y jouais...
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Si vous voulez retrouver les jouets de vos années à vous, allez sur This Old Toy !
lundi 20 avril 2009
Sourcellerie
Ce week-end, initiation à la sourcellerie par Pascal Paget à la Grange rouge.
Notes et remarques pour se souvenir... et liens pour approfondir :
Beaucoup de termes évoqués : la sourcellerie, la radiesthésie, la biogéologie (définitions par wikipédia)
Les livres cités par notre initiateur du jour :
- "Comment j'opère" de l'abbé Mermet
- "La médecine de l'habitat" de Jacques La Maya
Pensées :
- Malgré un esprit (soi-disant) cartésien, je constate que "ça marche" : sur
rien avec la traditionnel fourche en bois.
un "troupeau" d'une quinzaine d'élèves plus ou moins novices, 15 trouvent les
mêmes résultats avec les baguettes en "L" et seuls deux ne ressentent absolument- Les antennes permettent de localiser tout un tas de "ruptures" de champs magnétiques dans le sol (failles, cours d'eau, câbles électriques). Mais il y a en plus les réseaux de Hartmann, de Curie, etc... Ca fait un paquet de trucs repèrables, ça ! Comment les différencier ?
- La baguette de coudrier, ça fait mal aux poignets (et du coup, à force de crisper
les mains, je n'arrive plus à rien après 1/4 d'heure de manipulation.) Tant pis
pour l'eau, je me contenterai de localiser les fils électriques !- Les liens avec le "barrage de feu", le "feng-shui", le
"magnétisme" sont multiples et étroits. Moi qui aime bien l'esprit "global" des
médecines chinoises (pourtant jamais utilisées pour moi !?!), ça m'inspire...- J'ai apprécié le recul de notre "professeur" sur toutes ces disciplines :
il détache assez bien toutes ces "sciences" de l'enveloppe mystique qui les
entoure habituellement.- Il note quand même qu'il faut pas mal d'expérience et de force intérieure
pour "jouer" de manière approfondie avec le magnétisme sans y laisser son
équilibre psychique. Tant pis pour ma vocation cachée de médecin-kiné-magnétiseuse :-D
Quelques liens de sourciers dans le même esprit pas trop ésotérique (quoique certains ! M'enfin j'ai pas tout lu non plus... J'ai un boulot dans la vie.) :
- Le sourcier par Blancan
- Bleu comme l'eau par Séverine et Philippe et le blog initial.
- Adolphe Landspurg
- Un sourcier dans le Gers
- Geobios par Alain de Luzan
- Anthony Davy
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Articles à prendre avec chacun sa sensibilité et son recul.
Certains seront peut-être choqués de le voir catégorisé dans "sciences".
Moi je suis sceptique de naissance mais néanmoins ouverte à toute découverte. (C'est qui ? C'est St Thomas qui ne croyait que ce qu'il voyait ? Bah pareil ! Sauf que la résurrection bin, heu j'lai pas vue, hein !)
Merci Françoise de l'avoir senti et de m'avoir fait découvrir cette nouvelle "branche". S'y balancer quelques temps avant d'en enfourcher une autre ;-)
jeudi 16 avril 2009
Hommage
Tomates et moustiques
Partage en live sur les moustiques :
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Non, non, je ne fume pas ni ne bois quand les enfants sont couchés !!! (Quoiqu'il me reste de bonnes bouteilles de ce week-end d'anniversaire et c'est un plaisir de diner tantôt an Vin jaune, tantôt au Corbières, tantôt au Tavel...)
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Si quelqu'un veut piquer l'idée des moustiques-biologistes pour en faire une nouvelle à la Bernard Werber, qu'il n'hésite pas : ce scénario est libre de droit, je demande juste un exemplaire dédicacé en retour.
vendredi 10 avril 2009
Question métaphysique
Suite à un coup de fil avec Lionel qui est en pleines négociations avec sa direction pour les indemnités de fermeture de Scapa Tapes à Bellegarde, on s'interrogeait sur la répartition de l'enveloppe budgétaire accordée.
Est-ce qu'il faut que chaque salarié ait la même part ? Logique puisque chacun est indispensable, mais quid du CDD de 1 an qui attendait son CDI derrière, du CDI nouvellement accordé ou de celui qui à 30 ans de boite derrière lui. Ils mériteraient des indemnités différentes.
On fait en fonction de l'ancienneté ? C'est un peu ingrat quand on sait qu'après 5 ans de boite (voire moins pour certains) on s'use, on se ralenti, bref, on n'est plus le moteur de la boite. Lionel ajoutait qu'en plus, c'est plutôt les jeunes qui sont dans la merde puisqu'ils ont souvent un prêt sur le dos alors que les vieux sont dégagés de toute obligation... Mouais, mais va retrouver un boulot à plus de 40ans. Pour les vieux, l'indemnité ne va pas juste "faire tampon" entre deux boulot, elle va sûrement devoir durer plus longtemps. C'est presque la solution qui me plaît le mieux.
Ils veulent se la faire à la proportionnelle au salaire ? C'est vrai qu'un cadre à un niveau de vie plus élevé qu'un ouvrier et qu'il faut aider chacun à rembourser le crédit qu'il s'est pris en fonction de sa paye... Mais c'est con, car c'est souvent une mauvaise gestion de l'entreprise qui conduit à une fermeture, donc si on simplifie à l'extrême, c'est avant tout à cause de l'encadrement et pas à cause des ouvriers. Du coup le gros salaires ne méritent pas une part plus importante du gâteau. Et pis faut prendre le salaire hors primes (primes de risque, primes d'horaires décalés, primes d'avance sur résultats,...)
Bref, c'est dur de ne pas faire du cas par cas, de trouver une règle à la fois juste et équitable.
Ajoutez à cela quelques sources de conflit : l'égoïsme classique du "Non, moi ça m'avantage pas !" ou "C'est pas juste il était en arrêt maladie", et une dose de copinage malsain "C'est le syndicat qu'a tout négocié, les non syndiqués devraient avoir un abattement sur leur indemnité de départ."
lundi 6 avril 2009
C'est du lourd

Forcement, quand ce genre de chose vous attendent à la maison, y'a pas de quoi être très enjouée.
Non mais c'est à cause de l'insistance de mon chef de me voir arriver à 8h pile.
Je sais pas pourquoi mais ça me mine. u peu comme si le fait d'arriver un peu en retard chaque matin était un espace de liberté vital.
Alors je creuse, je creuse... Essayer de comprendre pourquoi cela m'insupporte tant d'être à l'heure... N'ai-je pas d'autres façon d'exprimer mon "originalité" que par mon manque de ponctualité ?
Et puis c'est tout un tas de questions qui ressurgissent : est-ce à Gilles d'assumer seul les préparatifs du matin ? Faut-il vraiment sacrifier son boulot sur l'autel de la vie familiale ? Et quand bien même, en quoi cela serait-il nul après tout ?
Et mon boulot là dedans ? Alors ainsi, la qualité de mon travail, ma diligence à donner des coups de colliers quand il y a besoin, ma méticulosité dans les plans pour les grosse affaires, ma disponibilité offerte les après-midi ou les soirs en travail à distance depuis chez moi... tout cela n'a donc plus de valeur ? On veut que je sois réactive (plus de plans, plus vite, peu importe la qualité !) On veut que je pointe. Que j'affiche mon planning en grand dans mon bureai, tel une feuille de cadencement.
Et si je debiens nulle au boulot aussi. Si ces guides révèlent tout d'un coup que je ne vaut pas grand chose à mon poste ? Ou aurais-je alors ma place ? "Rapport à la photo" que vous voyez bien que je n'aurai pas fière allure à la maison non plus.
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Penser expliquer tout ça à mon chef en lui donnant avec une lettre de démission à utiliser à son bon vouloir...
Puis faire un rapide calcul ;se rendre à l'évidnce qu'il faudra trouver un autre boulot... et que les boulot précaires (caissière, distributeur de journéeau, Mc Do,...) vont rarement de pair avec des horaires flexibles ou une liberté de mouvement...
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J'ai discuté un jour avec le gardien de la salle en face de la MLIS. Il me disait que l'arme ultime d'une petite nation bien rangée, c'était le crédit. Celui qui vous permêt de rêver mais qui en contre-partie vous sangle. Ne pas protester de peur de perdre son boulot et de ne plus pouvoir payer son crédit... Parce que sinon, en étant un minimum prévoyant, vous pouvez facilement passer 4-6 mois sans boulot en attendant de trouver mieux (ou moins pire). Mais avec 800 à 1000€ qui s'en vont chaque mois quoi que vous fassiez, c'est impossible.
J'avais trouvé sa vision très juste.
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Oh oui, je suis en train de broyer du noir... Mais que voulez-vous, ça fait un drôle d'effet d'aller au boulot la mort dans l'âme et/ou la peur au ventre... et ce, à même pas 30 ans !
LEs mots sont un peu fort j'en conviens, mais quelque part ils me parlent quand même ! C'est pour dire !
Et à ce stade, ça devient dur de ne pas s'écrouler lorsqu'on nous souffle une remarque sur la taille de son cul, de sa peau, de l'assaisonnement d'un plat ou d'une petit erreur sur un plan de réservation.
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De là à parler de dépression, je n'en sais rien. Il parrait qu'en dessous d'un mois, on ne peux rien affirmer...
De toute façon, quand on fait une vraie dépression, on s'en rends pas compte, n'est ce pas ?
Et puis regardez ! Le fait de structurer un peu mes pensées par écrit, je vois ien que je me mine à cause d'une lubie insignifiante sur des horaires normaux de travail. Bref, y'a plus qu'à me psychanalyser sur ce point et hop, envolée la grise mine...
D'ailleurs, ne serait-ce pas tout simplement du aux jours qui raccourcissent et au fait que mes louloux soient loin pendant cette semaine de vacances ? Le premier qui dit que ça avait déjà commencé avant, je lui ressort du poulet froid. Non mais !
La methode Coué, c'est fragile !